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Un café qui n’avait plus rien de maure La palmeraie, toute proche, permettait aux maraîchers installés sur les abords, de vendre le lait et les figues fraîches tôt le matin. Le lait, servi à l’aide d’unités de mesure de 200 et 50 décilitres, n’allait généralement pas au-delà de ces quantités. Les figues fraîches étaient livrées dans des corbeilles en alfa capitonnées de feuilles de figuier. Un trait culturel oasien faisait consommer ce fruit rustique, dès le lever du jour.Le «café d’Alger», point nodal de la communauté citadine, connaîtrait-il le même sort que les restaurants «Le Ritz», «La Palmeraie», «Le Kerdada», les hôtels «Le Sahara», «l’Oasis» et d’autres lieux mémoriels ? |
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Voyageur qui passe, Arrête-toi si ton âme n'est pas méchante...
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30/09/2008 |
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