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"Elle s'appelait Nakhla, son sourire était doux comme l'aurore et dans Bou-Saada on enviait celui qui possèderait cette rose parfumée. Dans les vers qu'ils chantaient en son honneur, les poètes disaient: O Nakhla, ta beauté resplendit comme le soleil ! Retire-toi, car deux soleils dessècheraient le monde". Etienne Dinet, Le printemps des coeurs |
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